Pour terminer j’emprunte à Michel Ragon la conclusion de son ouvrage « L'homme et les villes » : « À la fois fragiles et s'adaptant à tout, souvent malades mais ne mourant que d'extrême vieillesse ou d'accident, bourrées de contradictions, gaies et tristes, lourdes de toute la mémoire du monde, telles sont nos grandes villes si semblables à l'homme qui les a créées. » (MB)

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